Vues du Quai

  • Et si la magie de Noël pouvait voyager avec nous ?

    La fin de l’année est le moment favori d’un grand nombre de personnes. Certes, je vous accorde que cela ne fait pas l’unanimité.

  • Appelez vos grands-parents

    L’une des choses que j’aime le plus dans le travail que je fais au Centre d’histoire familiale Banque Scotia (CHFBS) du Musée canadien de l’immigration du Quai 21, c’est que chacune de mes interactions est complètement différente.

  • « Jeune homme, tu te prends beaucoup trop au sérieux » : Les mémoires de l’agent d’immigration Fenton Crosman

    L’histoire de l’immigration au Canada s’appuie sur un large éventail de sources. Parmi celles-ci, les réflexions personnelles des fonctionnaires de l’immigration sont précieuses. Elles donnent souvent un aperçu du fonctionnement des sites d’immigration ou permettent de formuler des constats sur les différences entre la politique et la pratique aux points d’entrée. Les mémoires de Fenton Crosman, publiés par la Société historique de l’immigration canadienne, offrent un tel ensemble de réflexions personnelles, accompagnées à l’occasion d’un peu d’humour noir.
  • Démêler les faits familiaux des légendes familiales

    Nos histoires de famille sont les histoires que nous décidons de répéter et de partager. Nous en retirons les parties nébuleuses ou malvenues, et au fil des générations, ces histoires deviennent nos vérités.

  • N’importe qui peut devenir un réfugié; personne ne choisit d’être un réfugié

    Lorsqu’un pays est en guerre, ses citoyens peuvent éprouver des difficultés à le quitter... Les gens perdent tout et quittent leurs demeures afin de fuir vers les pays avoisinants. Ou ils restent et font le tour du pays en attendant de pouvoir rentrer chez eux.

  • Réflexions sur les entrevues d'histoire orale des réfugiés du Printemps de Prague

    Plusieurs réfugiés qui sont arrivés au Canada en provenance de l’ancienne Tchécoslovaquie après l’invasion du Pacte de Varsovie en 1968 ont partagé leurs histoires avec le Musée sous la forme d’histoires orales. En réfléchissant aux points communs de ces histoires, nous constatons à quel point chaque histoire est unique, même à un moment aussi précis de l’histoire. Ces différentes expériences nous aident à comprendre la complexité de ce que vivent les réfugiés ou les immigrants.
  • Réflexions au sujet d'une porte verte I : Nouveaux départs

    « Je connais cette porte. » La pensée était presque écrasante. D'une façon ou d'une autre, j'avais été catapulté mentalement 47 ans dans le passé et mon cerveau répétait sans cesse : « Je connais cette porte. Sa place est ici, presque dans cette position, mais pas tout à fait...

  • Signes d'autonomie dans les récits de réfugiés

    Les réfugiés et les personnes déplacées qui ont connu la guerre, des traumatismes, la violence ou d’autres circonstances contraignantes sont toujours capables d’exercer une action individuelle de diverses manières, même dans des situations définies par la perte de contrôle. Czeslaw Tomaszewski, Lynda Dyck, Umeeda Switlo et sa mère Lella Umedaly sont tous des personnes qui ont été capables d’exercer leur contrôle dans des situations difficiles et qui ont encore exercé leur pouvoir en se souvenant et en partageant leurs expériences de vie par l’entremise d’histoires orales.

  • Mes dix dernières années en tant qu'immigrante au Canada travaillant dans un musée de l'immigration

    Au Musée canadien de l'immigration du Quai 21, nous recueillons et racontons les histoires des immigrants qui sont venus et qui continuent de venir au Canada pour se faire un nouveau foyer.