Faire un don au Musée canadien de l’immigration du Quai 21 dans votre testament est un processus simple qui a un impact durable.
La dernière fois que j’ai réécrit mon testament ... j’ai confirmé que le Musée canadien de l’immigration du Quai 21 en serait l’un des bénéficiaires. L’historienne en moi y voyait un moyen de faire avancer le travail du Musée. Mais, surtout, c’était une façon d’honorer les histoires d'immigrantes de ma propre famille.
—Frances Swyripa, donatrice
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Maria Almeida,
Gestionnaire des relations avec les donateurs,
malmeida@quai21.ca
902-420-6656.
Histoires de donateurs d’héritage
Mary Campanella
Mary Campanella, dont les parents italiens ont immigré au Canada par le Quai 21 au cours des années 1950, nous a rendu visite en 2013 et a repris contact avec les expériences de ses parents lors de leur passage par ce portail historique. Son père, survivant de la Seconde Guerre mondiale après avoir été prisonnier de guerre, a trouvé la force et le courage d’immigrer au Canada afin d’entreprendre une nouvelle vie. Elle a été inspirée de faire un don testamentaire afin d’honorer l’endroit où ses deux parents ont posé le pied au Canada pour la première fois. Nous sommes sincèrement reconnaissants envers Mary et nous savons que son don continuera de faire sentir son effet.
« J’ai eu le bonheur de partager tant de beaux souvenirs avec elle [Mary] et j’en suis très reconnaissante. Elle a touché tant de gens autour d’elle et ce fut une chance pour nous que de l’avoir connue. »
—Rita Ham, cousine de Mary Campanella
Frances Swyripa
Ma mère aimait écrire des testaments. Elle a refait le sien à plusieurs reprises au cours de sa vie, principalement pour modifier divers héritages après un ajout à la famille élargie. Elle et sa soeur se réunissaient à table avec leurs listes, redivisant les biens hérités de leur mère.
Grand-maman, une enseignante aux racines loyalistes de l’Empire-Uni, s’était installée à l’ouest de la Nouvelle-Écosse après la Première Guerre mondiale et avait épousé un fermier novice du Yorkshire,en Angleterre. Mon autre grand-mère, ma baba ukrainienne, est arrivée au Canada en 1901, a épousé un homme de son village natal et a rejoint la foule des colons paysans qui développaient des fermes dans les Prairies. C’était deux femmes extrêmement différentes, représentant des aspects si distincts de l’histoire canadienne, et elles ont fait de moi une personne « exotique » — en tous cas, c’est ce que je me disais en grandissant.
Il n’est pas surprenant que j’aie fini par devenir historienne de l’immigration et de l’ethnicité à l’Université de l’Alberta. Ou que, lorsque j’ai été invitée à ce titre à faire partie du premier conseil d’administration du Musée canadien de l’immigration du Quai 21 en tant que société d’État, j’ai sauté sur l’occasion. Les huit années que j’ai passées là ont été les plus enrichissantes de ma vie professionnelle.
La dernière fois que j’ai réécrit mon testament (digne fille de ma mère), j’ai confirmé que le Musée canadien de l’immigration du Quai 21 en serait l’un des bénéficiaires. L’historienne en moi y voyait un moyen de faire avancer le travail du Musée. Mais, surtout, c’était une façon d’honorer les histoires d'immigrantes de ma propre famille.
– Contribué par Frances Swyripa,, Ph. D., membre du Club du Quai 21, ancienne administratrice du Musée et donatrice
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